La « loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » (11 février 2005) reconnaît pour la première fois la notion de handicap psychique, à côté des notions de handicap moteur, sensoriel, mental et cognitif. Ceci devrait favoriser la mise en place de structures et d’aides adaptées.

Formes diverses et complexes : troubles de la personnalité, schizophrénie, troubles bipolaires, TOC, troubles du comportement alimentaire, troubles de la volonté, troubles de la pensée, troubles de la perception, troubles de la communication et du langage, troubles du comportement, troubles de l’humeur, troubles de la conscience et de la vigilance intellectuelle, troubles de la vie émotionnelle et affective, Troubles de l’estime de soi, de la relation à l’autre.

Apparition progressive ou brutale à l’adolescence souvent ou chez le jeune adulte. Le diagnostic est souvent long. Capacités intellectuelles conservées

Exemples de compensation : Aménagements d’horaire, d’emploi du temps, lieux de repos ou de travail, médiation dans les relations, présence d’un soignant ou d’un tiers « rassurant », …

La population est évaluée à 1 % de la population mondiale, par l’OMS. Ils sont seulement reconnus depuis la loi de 2005.